LucasHunter
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Date d'inscription : 10/06/2007
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 | Sujet: Lucas Hunter  Dim 10 Juin - 0:50 | |
| Nom : Hunter Prénom(s) : Lucas - Hector - Joseph - Grégory Age : 20 ans Date et lieu de naissance : 15 février 1987, Auckland, Nouvelle-Zélande Nationalité : Néo-Zélandaise Année et filière : Etudiant en Histoire de l'Art, 3e année. Sur l'Avatar : Joshua Jackson Qualités : Bon vivant, gentil, agréable à vivre et drôle, Lucas est un compagnon plaisant avec qui il fait bon vivre. Malgré les multiples problèmes familiaux, il ne se laisse pas abattre facilement, et surtout, il ne laisse pas ses quelques peines ternirent la vie de ses amis. Peut-être un peu trop réservé sur sa vie, Lucas sait garder les secrets intactes. Toujours joviale, l’oreille amicale, et l’épaule accueillante pour bercer les malheurs de ses camarades, le jeune homme est loyal et droit envers ceux-ci. Jamais rancunier mais quelques fois naïf, le jeune homme voit le bien partout. Lucas Hunter est toujours motivés pour les quatre cents coups, et le jeune homme est aussi extrêmement ouvert et d’une grande tolérance, tellement grande que souvent, il passe pour une personne laxiste et désinvolte.
Défauts : Souvent irréfléchi, Lucas est un jeune homme impulsif qui ne réfléchit qu’après avoir agit, ce qui lui attire parfois quelques ennuis avec le règlement de l’université. D'ailleurs, le Doyen l'a dans le collimateur depuis qu'il a repeint en rose toutes les toilettes de l'université pour protester contre les OGM... allez savoir le rapport... les artistes. Chapardeur et de temps à autre vandale au nom de l’Art, Lucas ne connaît pas ses limites lorsqu’il s’agit de s’exprimer. Bagarreur avec un verre dans le nez et habituellement grossier, le jeune homme aime courir tous les jupons pour un oui ou pour un non, qu’ils soient portés par une fille, ou par un garçon. Silencieux comme une tombe sur sa vie, il éprouve cependant une grande honte du milieu d’où il vient. C’est pourquoi, il ment depuis des années à ses meilleurs amis sur son père qu'il prétent être un scientifique exilé dans le désert Australien pour ses recherches.
Un signe particulier ? Lucas possède un tatouage sur le dessus du pied droit ; une tortue tribal de style moko maori.
Projet d'avenir//Rêve : Depuis l’âge de six ans, depuis exactement le moment où son père Hector Hunter lui a offert un livre sur l’art maori, Lucas est passionné par les Arts du monde qui l’entour. Il ambitionne depuis ce jour de devenir conservateur d’un grand musée en Italie, ou alors, s’il ne trouve pas le musée de ses rêves, de devenir une critique renommée dans le milieu, ou tout simplement historien des Arts dans une grande université. Son rêve ultime, comme tous les artistes et les scientifiques des arts, est de lancer son propre mouvement artistique qui restera graver dans l’Histoire de l’Art à jamais.Histoire : Fils d’Hector Hunter et d’Hecuba Fitzgerald, Lucas Hunter naquit dans la nuit du 15 février 1987 dans un embouteillage d’Auckland en Nouvelle-Zélande. Effectivement, n’ayant put rejoindre l’hôpital à temps, Hecuba accoucha de son deuxième enfant sur la banquette arrière du taxi de son frère Danny. C’est ainsi donc, que Lucas arriva sur cette terre, dans cette famille au revenu modeste néo-zélandaise.
Malgré les quelques revenus insuffisant parfois, car un père gardien de parking la nuit et une mère infermière, ça ne gagne pas des masses, Lucas grandit tout de même entouré d’amour, sans jamais vraiment manquer de rien. La viande dans l’assiette et le jouet sous le sapin, les trois enfants désirés et choyés des Hunter ne pouvaient se plaindre de leur vie, car leurs parents se pliaient en quatre pour eux. Mais alors que la vie semblait paisible et parfaite dans la jolie ville d’Auckland, alors que Lucas la passait à s’amuser sur les jolies plages de son pays ou dans ses grandes vallées, le malheur toucha subitement cette famille.
A l’âge de quinze ans, son père Hector fut mêler à une sombre histoire de meurtre avec préméditation dont Lucas ne connaît à l’heure actuelle toujours pas ni les tenants, ni les aboutissants. Jamais le jeune homme n’avait cherché à savoir pourquoi son père avait assassiné de sang froid, en l’égorgeant, Martin Cooper, un simple et ridicule employé de bureau dans le centre d’Auckland.
Passant au silence sa douleur de savoir son père en prison, Lucas se concentra sur ses études, et sur son job d’étudiant afin d’aider sa mère à joindre les deux bouts du mois. Malgré les hauts et les bas, cette famille resta tout de même unie et remonta la pente. Il fallait dire qu’Hecuba était une femme d’une grande bonté qui ne se lamentait jamais sur son sort. Ce fut grâce à elle que l’harmonie et la joie revint dans ce foyer déchiré par l’incarcération de leur tant aimé père.
Lorsque Lucas reçu sa bourse d’étude pour rejoindre la Columbia University, Hecuba en pleura de joie. Son fils prodige, son cadet entrait à l’Université, là où elle avait toujours rêvé d’aller. Et ce fut donc le cœur léger et les études payé par l’université elle-même, que Lucas Hunter, fils d’Hector Hunter, débarqua à New-York pour y suivre de talentueuse étude d’Histoire de l’Art.Parcours scolaire : Teigne à la maternelle, et cancre en primaire, Lucas ne brilla pas dans ses débuts scolaires. Les mathématiques et les sciences en horreur, le jeune homme n’avait la moyenne que dans les cours artistiques, ce fut pourquoi, il fut dirigé une fois arrivé en secondaire, vers un lycée artistique d’Auckland où il put développer ses capacités créatrices.
S’épanouissant dans ce milieu, le jeune homme était sur tous les fronts. Délégué de classe, responsable de la rubrique critique artistique du journal du lycée et révolutionnaire à ses heures, l’article avengardiste qu’il écrivit dans le cadre d’un concours de journalisme nationale, et qui avait pour thème le parallèle entre le Constructivisme russe et le mouvement De Stijl sur l’architecture de notre époque, lui ouvrit les portes de la Columbia University. Audacieux et n’ayant pas la langue dans sa poche, Lucas bluffa par son ouverture d’esprit les membres du conseil accordant les bourses universitaire.
C’est ainsi que grâce à sa capacité à avoir toujours une longueur d’avance lorsqu’il s’agissait de repérer les nouvelles tendances artistiques, qu’il débarqua à New-York. L’intégration dans cette jungle newyorkaise fut pénible les premiers temps, mais sa rencontre avec Christina et William lui changea la vie. Ayant d’énorme facilité à étudier les matières qui le passionne, Lucas passa sa première année avec les honneurs, puis la deuxième tout aussi facilement malgré les quelques ennuis qu’il eut avec le Doyen pour vandalisme.Physique : D’un physique plutôt agréable, sans être le beau gosse par excellence, Lucas n’a pas vraiment de complexe. D’une taille moyenne, modérément musclé et bien charpenté, le jeune néo-zélandais ne prend jamais tellement soin de son corps. La bouille ronde et boudeuse de nature, et les yeux bleus mélancolique, si on ne le connaissait pas, on penserait qu’il est triste. Mais, ce n’est jamais vraiment le cas.
Les cheveux châtain foncé jamais coiffé et ne se rasant que lorsqu’il y pense, Lucas Hunter passe souvent pour quelqu’un de sale, mais ce n’est qu’apparence bien entendu… quoiqu’il lui arrive de ne pas se laver durant quelques jours d’affiler. Le jeune homme ne fait juste que très peu attention à lui. Une tâche, n’est qu’une tâche, elle partira lors du lavage.Style vestimentaire : Côté vestimentaire, Lucas privilégie le confort à l'esthétisme. Il est souvent vêtu de jeans, de tennis et de t-shirts tachetés ici et là d’argile. Pouvant se vêtir assez traditionnellement, et donc ne brillant pas par son originalité la plupart du temps, certaine fois, il peut carrément partir dans les excès provoquant. Lucas met toujours en gros sur le dos des vêtements reflétant son humeur du jour et dans lesquels il se sent bien.. S’habillant sans complexe plusieurs jours d’affilés avec le même frok, Lucas n’éprouve aucune gêne à ce qu’on remarque qu’il ne s’est pas changer depuis deux jours.
S’il ne suit pas trop la mode, ce n’est pas pour autant qu’il s’habille mal. Il a aux poignets des bracelets tressés en tout genre, dont un appartenant à son père, et il met parfois, un pan de tissu de lin sur un pantalon de kimono, ce qui forme une jupe qui fait souvent rire les universitaires trop étroit d’esprit.Love : Malgré ses problèmes familiaux, Lucas n’en reste pas moins un jeune homme aimant la vie et ses plaisirs, et bien dans l’air du temps. Il aime sortir, frimer, se pavaner avec ses amis dans les boites de nuits comme tous les jeunes gens de son âge, boire et fumer du haschich. Mais ce qu’il aime par-dessus tout après l’Histoire de l’Art, c’est l’océan, ses plages, le sable blanc, les chants de l’écume des vagues se brisant sur les récifs de Nouvelle-Zélande et les balades en bateau. Lucas aime également sculpter de provocantes naïades nues, et d’imposantes statues de Priape, le Dieu au sexe imposant. Certain trouveront là une échappatoire à sa frustration, mais pour lui, c’est autre chose de moins pervers et de plus conceptuel. Le jeune homme aime manger des pommes et des mandarines à longueur de journée, faire du roller, et marcher pied nu à la moindre occasion. Enfin, lorsqu’il sort, Lucas aime boire toujours à l’excès, jusqu’à s’oublier lui et sa douleur journalière, et il apprécie également, le cul pour le cul.Hate : Lucas Hunter à une sainte horreur des conflits, et surtout, des gens qui les provoques. C’est pourquoi, il évite le plus possible de fréquenter l’élite de l’université, préférant rester entre cons, qu’entre enculés. Le jeune néo-zélandais ne supporte pas non plus les niaiseries et les gens trop gentils car il est persuadé que ceux-ci sont d’une fourberie pas possible. Il a également une dent contre le Doyen, et il ne supporte pas le vouvoiement entre jeunes. L’odeur du thon l’insupporte, et il est prêt à se damner pour ne pas devoir manger d’escargots et de cuisses de grenouilles. Pour finir, Lucas accepte très mal la critique lorsqu’elle n’est pas constructive et fondée.Niveau en RP : Bha entre nous, je peux écrire beaucoup suivant le joueur que j'ai en face, mais quand y a rien a broder, y a rien a dire... donc ca dépendra de l'histoire proposer... car, bon, même pas la peine que j'me casse le cul à écrire si cay pour écrire du vent ^^ Aussi non, une note, j'dirais 20/20 ( ) Euh non, allez 16/20.Où avez-vous connu le Forum ? Y a une fille qui joue un perso frigide sur un autre forum qui a fait d'la pub, j'me suis dis, pourquoi pas essayer le jeu, et voir si cela me plait  Votre avis sur le forum ?[i] Design : Très sympa ! Cay classieux ! Contexte : ca peut aller, reste à voir avec les intrigues que vont proposer les joueurs, et là j'ai franchement peur des intrigues dignes d'Hélène et les Garçons. Prédef : Ca m'emmerde toujours qu'on puisse choisir un acteur à ma place, mais bon, j'ferais avec  (Jaaaakkkke > Code : Edité
Dernière édition par le Dim 10 Juin - 13:20, édité 19 fois | |
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